Etre soi serait alors tenir un rythme, une mélodie, une harmonie. Des grosses lignes au milieu des tempêtes aux petites notes des jours légers, par un sourire, une gentillesse, un rictus ou une vilenie, l’accord à soi deviendrait une intention posée là-bas qui bat maintenant.
Se pose alors de nouveau la question de l’intensité, frénésie de soi-même qui déborde, amplifiée et volontaire dont l’efficience ne dépendrait que d’une compétence : Savoir jouer de soi.